Inter-Environnement Bruxelles
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Parcours de luttes contre les technologies sans fil

Depuis l’apparition de la téléphonie mobile, des personnes entrent en lutte contre les nouveaux engins et leurs méfaits sur le corps humain. Tour d’horizon des associations actives en Belgique sur ce terrain sanitaire.

© Paul Mahoux - 2019

En 2019, le négationnisme quant aux effets sanitaires destructeurs des technologies sans fil est encore et toujours de rigueur dans certains esprits. Pourtant, dès la mise en circulation des appareils sans fil, des plaintes sanitaires sont apparues, partout dans le monde. Ces personnes se seraient- elles consultées, à une échelle mondiale, pour inventer et décrire les mêmes effets, au contact des mêmes engins industriels placés dans notre environnement ? Quel en serait l’intérêt ? En effet, quel intérêt pour un individu d’exposer des symptômes physiques et une impossibilité d’encore évoluer normalement dans une atmosphère où des rayonnements de micro-ondes sont imposés à son organisme ? Du côté des industriels et des opérateurs, par contre, l’intérêt est limpide : ils ont des produits à vendre. Face à ces intérêts, des personnes victimes de l’agression électromagnétique se sont organisées dès le début des années 1990. Nous sommes partis à leur rencontre afin de connaître les fondements de leur lutte [1].

Saison 1. des lignes à haute tension à la téléphonie…

Pour la première étape de notre circuit associatif, nous nous arrêtons à l’extrême-sud de la Wallonie, plus précisément à Aubange, à proximité des frontières française et luxembourgeoise. Le « Collectif Tesla » y est actif depuis la fin des années 1980, « Tesla » étant l’unité de mesure du champ magnétique. Notre témoin se rend à une rencontre organisée en 1993 au sujet des nuisances des lignes à haute tension, car sa famille est concernée par un projet de ce type de ligne au-dessus d’une propriété en Wallonie. La mobilisation sera victorieuse et la ligne détournée. Les craintes des riverains sont dues à des plaintes formulées par les gens forcés de vivre sous une ligne à haute tension : insomnies, humeurs irritables et stress, taux élevés de leucémies infantiles, infertilité des volailles et autres animaux de ferme... [2]

L’association Teslabel se crée à cette occasion. Elle est composée d’ingénieurs, de gens familiarisés avec les questions techniques, de scientifiques spécialistes des champs électromagnétiques... De nombreuses séances d’informations sont organisées et, « très vite, Teslabel voit arriver des personnes se plaignant du même type de symptômes physiques, ressentis cette fois suite à l’installation à proximité de leur logement d’antennes de téléphonie mobile, une technologie alors au début de son déploiement ». Au plus fort de son existence, « le fichier de l’association contenait 800 contacts, et des convocations aux assemblées générales concernant jusqu’à 200 personnes » [3].

L’association soutiendra les riverains dans le dépôt de recours contre des antennes, et l’un de ses rôles importants aura été d’orienter et surtout d’informer le public, inquiet de ne recevoir aucune réponse de la médecine au sujet de l’origine de leurs maux.

Saison 2. se mobiliser pour une… dé-mobilisation

Fin des années 2000, via – entre autres – l’association Teslabel, les personnes qui formeront le Collectif Dé-Mobilisation découvrent que les troubles de santé dus aux technologies sans fil, s’ils sont quasiment ignorés du grand public, sont pourtant bien compris, explicités et documentés dans le domaine scientifique. Ils sont également, hélas, partagés par beaucoup d’individus. Confrontés au scepticisme ambiant, ils décident de diffuser l’état de la situation sanitaire, et de révéler certaines pratiques des industriels. Considérant que des innovations agressives pour le corps humain ne pourraient en aucun cas être qualifiées de progrès, ils décident de prôner l’arrêt de la téléphonie mobile, par la création du Collectif Dé-Mobilisation.

Outre des participations à des débats et différentes publications, la principale initiative du collectif sera d’organiser, en collaboration avec Inter-Environnement Bruxelles, des « balades électromagnétiques » dans les communes bruxelloises. Lors de chaque arrêt du parcours, un membre propose une réflexion avec le public, sur les dimensions sanitaires ou environnementales, les connaissances scientifiques, ou encore les dimensions sociales des technologies sans fil. Chaque arrêt se réalise à proximité d’un site où sont placées des antennes, afin d’en présenter les différents modèles : les grands rectangles bien connus sur les toits, mais aussi les petits boîtiers collés aux façades, à l’insu des familles présentes dans le bâtiment, ou encore des micro-relais dissimulés parfois dans des enseignes de magasins. Le minimum serait en effet de pouvoir identifier les lieux où sont posées les antennes, et la puissance à laquelle sont soumis les habitants des immeubles proches.

L’un des points marquants des balades tient dans les mesures réalisées lors de chaque arrêt, révélant les niveaux de micro-ondes présents dans l’air de nos rues et concrétisant pour l’œil, grâce à un appareil de mesure des niveaux de radiations, une pollution invisible, inodore, incolore… mais hélas pas indolore pour les initiateurs des balades. Poussé par des habitants, inquiets des nombreuses antennes placées sur les logements sociaux par exemple, le Syndicat des locataires s’est également penché sur la pollution électromagnétique en compagnie du collectif. Des élus locaux ou des parlementaires fédéraux ont participé à certaines de ces balades.

Saison 3. Les quartiers commencent à gronder

La connaissance des méfaits de la téléphonie mobile sur la santé, et le travail de contre-information associatif, commencent à produire leurs effets : les habitants des quartiers se mobilisent pour empêcher l’installation de nouveaux générateurs de micro-ondes dans leur environnement direct. C’est par l’une de ces actions que va démarrer la plateforme nommée grONDES. Son porte-parole nous expose les prémices de la mobilisation : « Tout a démarré d’une interrogation personnelle, il y a longtemps. En 2000 je logeais chez un ami, hors de Bruxelles, et juste en face il y avait une antenne énorme, un mât. C’était tellement imposant que je m’étais posé la question de savoir ce que je ferais si ce genre de chose était installé devant chez moi. J’avais complètement oublié, mais maintenant je sais ! Il y a six ans j’ai découvert un projet de ce type dans mon quartier et j’ai décidé d’agir... »

À nouveau, vient ensuite la découverte de l’étendue réelle des connaissances, non-exposées au grand public. « En faisant quelques recherches, je constate qu’un débat est déjà en cours sur ces technologies, que des associations sont invitées au Parlement, etc. Tout cela m’interpelle fortement. Je ne suis pas physicien, ni scientifique, donc pour ma part c’est surtout la manière dont ça se passe au niveau politique qui m’étonne. Si tout est si clair et qu’il n’y a aucun problème sanitaire, pourquoi tous ces débats et ces polémiques qu’on lit dans la presse, et ces manœuvres politiciennes au Parlement ? Je décide donc d’agir. » De nombreux voisins placent des affiches à leurs fenêtres, des pétitions sont lancées et le pouvoir communal soutient la démarche, comme il le fait déjà dans deux autres quartiers de la commune. Après un contact avec le Syndicat des locataires, des réunions sont organisées dans différents quartiers confrontés aux mêmes problèmes, « car bien entendu, si on arrive à bloquer le projet, ça ne sert à rien qu’ils aillent placer les antennes dans le quartier voisin » [4].

Aujourd’hui la plateforme grONDES rassemble 32 comités locaux, et a établi des contacts réguliers avec de nombreux autres. Il s’agit d’un combat qui explose tout clivage, très vivant, avec « des réunions géniales » rassemblant des gens de toutes origines, de toutes les communes. Jusqu’à aujourd’hui, le projet de nouvelles antennes à l’origine de la plateforme est toujours bloqué, après une douzaine de recours victorieux en six ans.

Saison 4. Les malades se fédèrent

Comme pour tout problème de société, il est bon que les gens touchés personnellement se regroupent afin d’élaborer des stratégies collectives. C’est ainsi que les victimes physiques des industriels du sans-fil ont créé l’AREHS, l’Association pour la reconnaissance de l’électrohypersensibilité. Comment cette association s’est-elle constituée au départ ?
« L’AREHS s’est créée lorsque Paul Lannoye [5] a réuni toutes les personnes électrosensibles qu’il a pu joindre, à la Maison de l’écologie de Namur. L’objectif était de défendre les intérêts des personnes touchées par la pollution électromagnétique. Certains se sont alors proposés et ont avant tout réfléchi au nom de l’association. Nous étions ce jour-là entre 20 et 25 personnes, avec pour base de combat que les personnes concernées luttent avant tout pour la reconnaissance du mal » [6].

Les statuts de l’association sont reconnus le 27 mai 2015, 219 personnes sont aujourd’hui membres, dont 90 % sont des personnes touchées ; les 10 % restant sont des conjoint(e)s, ou des proches. L’article 3 des statuts énonce le but principal : « l’association a pour objectif la reconnaissance légale de l’EHS. » Pour y parvenir, elle organise des séances d’information, des projections-débats et certains membres vont témoigner dans des débats ou des formations au sein d’écoles des métiers de la santé (kiné, infirmiers, etc). L’association a rédigé une proposition de résolution de reconnaissance de l’EHS, déposée au Sénat en mai 2017. Des alliés politiques soutiennent le texte au sein de l’institution, un texte ni accepté ni rejeté pour le moment. L’AREHS a réussi à faire introduire par le ministre wallon de l’énergie une exception pour les électrosensibles, au sujet du placement obligatoire de compteurs communicants [7]. Il s’agit de la première apparition de ces personnes dans un texte officiel, une première concrétisation de l’article 3 des statuts !

Notons qu’un tel rassemblement n’est pas, en soi, évident. Ce problème de santé où le corps subit les agressions de l’air ambiant, toujours plus traversé d’ondes électromagnétiques de fréquences diverses, ne permet simplement pas aux plus atteints de se déplacer. D’autres vivent un inévitable repli sur soi, ou sont dans des états de dépression avancés. Par ailleurs, certaines personnes, vu le négationnisme régnant au sein des autorités sanitaires, n’ont simplement pas encore identifié l’origine de leurs maux. Ce déni institué, couplé parfois à une impossibilité de nommer personnellement ce que l’on vit, peut avoir des conséquences dramatiques sur des personnes fragiles psychiquement. Nous en avons rencontrées plus d’une, pour lesquelles cette attitude de la médecine a été un indéniable facteur aggravant. L’association joue donc un rôle de rapprochement, de soutien mutuel. Son site internet permet à des personnes en plein désarroi de reconnaître leur problème ; un travail d’accueil et d’information est donc fondamental.

Saison 5. une contre-information scientifique nécessaire

Pour terminer ce tour d’horizon, penchons-nous sur l’initiative Ondes.brussels, lancée en mars 2018. L’apport le plus notable de cette initiative est d’avoir rédigé un contre-rapport argumenté et richement documenté, en réponse au rapport du « Comité d’experts sur les radiations non ionisantes ». Ce « comité d’experts » est chargé d’évaluer la mise en œuvre du déploiement des technologies sans fil en région bruxelloise, en prenant en considération les connaissances scientifiques, ainsi que les impératifs économiques et de santé publique. Le contenu de ce rapport, en regard de la situation et des enjeux, est tout simplement négationniste sur l’état des connaissances [8].

Comment est apparue la nécessité de rédiger ce contre-rapport ? Comme souvent, le déclic vient d’une prise de conscience personnelle du problème, couplée ici à la révolte ressentie à la lecture du rapport officiel. Les prémices sont à trouver dans une mobilisation de différentes familles face à la découverte de l’installation de 44 antennes de téléphonie mobile aux abords d’une école, cachées dans le clocher d’une église. Les membres de ce comité commencent à suivre le sujet de près et découvrent le rapport du « Comité d’experts » paru en 2016 dans le but de faire le point sur la question. « En regard de ce que je venais de découvrir dans la littérature scientifique, à la lecture de ce rapport je me suis clairement dit que face à un texte pareil, ce n’est simplement pas possible de ne pas réagir. J’étais scandalisée, j’ai compris que ces gens étaient dans le déni total. »

La rédaction d’une réponse est entamée, puis « en 2018 sort un second rapport du Comité d’experts et, là, nous l’avons lu deux fois tellement on croyait que c’était une blague ! Il y avait encore moins d’informations. Au lieu de compléter leurs connaissances et d’informer sur la littérature scientifique de plus en plus abondante, ils ont donc fait moins. Je suis physicienne et j’ai l’avantage de m’être formée pendant cinq ans en nutrithérapie, je dispose donc également d’un bagage en biologie, qui permet de faire la correspondance entre les deux, et de vulgariser quelque peu les données disponibles » [9]. En effet, les rapports des études scientifiques ne sont pas toujours très abordables, l’apport principal d’Ondes.brussels est donc de fournir une contre-information scientifique sérieuse, dans une présentation accessible.

Deux semaines après le rapport officiel, scandaleux, paraît donc la réplique intitulée Analyse citoyenne des rapports 2016 et 2018 du Comité d’experts sur les radiations non ionisantes [10]. Il démonte, point par point, l’inanité du rapport officiel. Il a, semble-t-il, atteint sa cible, car il entraînera d’une part un courrier du « Comité d’experts », et d’autre part de vifs débats au Parlement bruxellois. Dans l’enceinte parlementaire, la ministre, qui prépare le terrain à un nouvel affaiblisse- ment de la protection sanitaire par un change- ment de la norme, accuse cette initiative d’être « anxiogène » pour la population. Pourtant, quelques temps plus tard, la même ministre déclarera qu’« aujourd’hui force est de constater qu’il est impensable pour moi de permettre l’arrivée de cette technologie si je ne peux assurer le respect des normes protégeant les citoyens. 5G ou pas. Les Bruxellois ne sont pas des souris de laboratoire dont je peux vendre la santé au prix du profit. On ne peut laisser planer de doute » [11]. Ce retournement de veste est sans doute lié à la législature finissante. Sans accord finalement établi au sujet du déploiement de la 5G, la patate brûlante est lancée par madame Fremault au prochain ministre de l’environnement.

Saison 6 ?

Après ce tour d’horizon, une question reste en suspens : une instance politique va-t-elle un jour sortir du placard ces milliers d’études montrant les dommages sur le corps humain des ondes électromagnétiques, pour en faire un sujet majeur de santé publique ? Vu la réalité sanitaire vécue par de nombreux individus, il est logique de voir des gens en lutte, continuellement depuis l’arrivée de la téléphonie mobile. Nul doute que si la situation actuelle n’est pas rapidement infléchie, le problème sanitaire dans lequel nous sommes plongés va s’aggraver, et en parallèle la lutte pour un environnement sain s’imposer avec toujours plus de conviction. En l’état actuel des réflexions officielles, nous doutons de cet infléchissement nécessaire. Force est de constater qu’on tente de nous faire gober la vocation de tout objet à se retrouver un jour « connecté », pour un supposé bienfait dans nos vies.

Le totalitarisme technologique est tel qu’il semblerait possible de convaincre de l’indispensable nécessité de connecter nos orteils à une nouvelle « appli » – forcément irrésistible – qui alerte- rait sur la longueur de nos ongles et le risque de trou dans la chaussette... Que le jeune loup capitaliste se calme tout de suite dans son incubateur de start-up : nous avons déposé le brevet.

© Paul Mahoux - 2019

Sites associatifs

  • AREHS : Association belge, francophone, pour la reconnaissance de l’électrohypersensibilité. Le site permet de recenser des personnes EHS en Belgique. Un état des lieux sanitaire utile pour appuyer les actions et fournir une base anonyme dans le cadre des études sur l’EHS.
  • grONDES : Plate-forme qui réunit des quar- tiers et des associations pour des technologies mobiles, d’information et de communication (TIC) qui respectent la santé, l’environnement et l’urbanisme.
  • Ondes.brussels : Initiative citoyenne lancée à Bruxelles en mars 2018 par des citoyens attentifs à la question de la pollution électromagnétique et son impact sur la santé et l’environnement.
  • Beperk de Straling : Groupe de citoyens néer- landophones qui s’interrogent sur l’augmenta- tion exponentielle des niveaux de rayonnements auxquels est exposée la population. Le groupe se questionne plus particulièrement sur les rayonnements micro-ondes de haute fréquence.
  • Robin des Toits : Association nationale française qui assiste et fédère les personnes et les collectifs qui luttent pour la sécurité sanitaire des populations exposées aux nouvelles technologies de télécommunications sans fil.
  • International EMF Alliance : Plate-forme internationale qui vise à solidariser et rendre vi- sible les travaux et mobilisations de scientifiques et d’associations qui militent pour une reconnaissance des effets biologiques des rayonnements électromagnétiques sur le règne vivant.
  • Alerte PhoneGate : Association internationale dont l’objectif est de protéger la santé des milliards d’utilisateurs quotidiens surexposés aux ondes de leurs téléphones portables et d’aider à défendre les victimes des conséquences de la tromperie des fabricants.
  • Pièces et Main d’Œuvre : Atelier de bricolage pour la construction d’un esprit critique à Grenoble. Agit depuis l’automne 2000 de diverses manières : enquêtes, manifestations, réunions, livres, tracts, affiches, brochures etc.
  • e-traces : Le site présente une série d’articles recueillis sur différents sites d’informations à propos du mouvement global vers une société de surveillance et, plus particulièrement, le Web 2.0.
  • Coordination Teslabel Association qui lutte pour le retour à un environnement sain, auprès des autorités et du public obnubilés par des technologies sans fil qui électrisent en permanence tous les organismes vivants.
  • Collectif Dé-Mobilisation Collectif né à Saint-Gilles durant l’été 2009, à la suite de discussions informelles entre riverains, au sujet d’antennes de téléphonie mobile discrètement installées, cachées dans les enseignes ou collées à des logements à l’insu de leurs occupants.

[1Nous avons rencontré chaque association pour un entretien extrêmement riche. Chaque action et chaque initiative mériterait un compte-rendu approfondi, nous en sommes conscients, mais ne disposons hélas pas de l’espace pour tout restituer ici. Nous renvoyons, en encadré, aux coordonnées de chaque association pour de plus amples informations.

[2Comme pour les technologies sans fil, les débats existent depuis des décennies sur les problèmes sanitaires des lignes à haute tension. De nombreux témoignages sont disponibles sur des sites d’associations environnementales et dans la presse.

[3Entretien avec un fondateur de Teslabel, rencontré le 5 décembre 2018.

[4Propos de Olivier Galand, porte-parole de grONDES, rencontré le 28 janvier 2019.

[5Paul Lannoye est physicien. Il anime aujourd’hui le Groupe de réflexion et d’action pour une politique écologique (GRAPPE).

[6Propos de Colette Devillers, rencontrée le 6 décembre 2018. Pour plus d’informations concernant les symptômes qui touchent les membres de l’AREHS, nous renvoyons le lecteur à l’article Nocivité des technologies sans fil : qu’est-ce qui fait « maladie » ?

[7Dans le « Décret modifiant les décrets du 12 avril 2001 relatif à l’organisation du marché régional de l’électricité et du 19 janvier 2017 relatif à la méthodologie tarifaire applicable aux gestionnaires de réseau de distribution de gaz et d’électricité en vue du déploiement des compteurs intelligents et de la flexibilité », 19 juillet 2018, parution au Moniteur Belge le 6 septembre 2018.

[8Les rapports du comité d’experts sur les radiations non ionisantes sont disponibles sur le site de Bruxelles Environnement, l’administration de l’environnement et de l’énergie en Région de Bruxelles-Capitale.

[9Propos de Wendy de Hemptinne, rencontrée le 15 février 2019.

[10L’entièreté de ce texte est disponible sur le site ondes.brussels