Bruxelles en mouvements n°269, avril 2014.
Associations, travailleurs et usagers prennent la parole pour dénoncer les dérives du secteur : libéralisation, gouvernance, dégradation de l’outil, du service et des conditions de travail. Ils défendent une mobilité collective, bien public qui doit rester accessible, vecteur d’emploi et de progrès durables.