Bruxelles en mouvements n°262, mars 2013.
Les habitats légers, mobiles et éphémères ont toujours été présents dans nos villes et villages, il ne s’agit pas d’un phénomène aussi marginal qu’on le laisse souvent croire. Ces phénomènes ne sont pas nouveaux et d’ailleurs ne sont pas toujours synonymes de précarité sociale.
Il s’agit de reconnaître ces formes d’habitat comme une réponse populaire, inventive et créative à la crise du logement et d’assumer des pratiques sociales jugées marginales ou utopiques.
Ce dossier est aussi une première salve réflexive dans une approche plus globale sur les questions de précarité liée au logement.