Bruxelles en mouvements n°258, juillet 2012.
Se réapproprier la nature comme autre chose qu’un décor peut se faire d’une multitude de manières. Ce BEM en raconte quelques-unes : réappropriation de friches, travail de prévention, découverte de nouvelles sensibilités avec la nature, redistribution des espaces et des ressources naturelles.
Oui, à Bruxelles, nous avons besoin de Nature(s), nous en avons besoin sous toutes les formes. Nous voulons lui faire de la place, non pas une place
prédéterminée, à laquelle on l’inviterait à rester comme on demande à un
enfant en classe de retourner à sa place.
On pourra débattre sans arrêt pour savoir si la nature a une valeur intrinsèque mais redonner des valeurs aux natures, se les réapproprier collectivement, se battre à nouveau avec et pour elles, voilà qui nous semble être un joyeux programme !