Considérant les « nouvelles » peintures murales comme ne pouvant
se réduire à une dégradation de la propriété privée, il nous semble
pertinent d’envisager ces « locutions murales » comme des expressions
spontanées de (ré-)appropriation de l’espace public. Ce que les
mass-médias et structures de pouvoir ne peuvent offrir à nos poètes
modernes », nos façades le peuvent : l’affirmation du droit de...
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