Enfin... elle n’était pas plus électromagnétique que toutes les autres balades que nous pouvons faire à Bruxelles aujourd’hui, mais cette fois nous avions un compteur pour pouvoir mesurer l’exposition de nos corps aux ondes électromagnétiques. De quoi se rendre compte des champs qui règnent dans l’air, mais aussi de voir les antennes, bien souvent invisibles. De quoi alerter les citoyens alors que de nombreuses enquêtes publiques sur les antennes gsm sont en cours et vont encore avoir lieu. Et de quoi nourrir le débat sur la société sans fil.
Infos : retouraufilaire chez gmail.com, http://demobilisation.wordpress.com.