Contrats de quartier
-
Les Marolles doivent rester un quartier populaire !
Publié le 5 février 2018Du 17 février au 19 mars, la Ville de Bruxelles mettra à l’enquête publique le Contrat de quartier Marolles : 30 millions d’euros d’investissements pour « revitaliser » les Marolles. Des habitants et des associations tirent la sonnette d’alarme en lançant cette pétition. [suite]
Communes : Bruxelles-Ville (Pentagone) , Thématiques : Logement -
Le Pavé prend la température de la participation : elle est froide…
Publié le 11 décembre 2017« Pavé dans les Marolles » est un journal distribué gratuitement dans une cinquantaine de lieux du quartier, un site à consulter, une page Facebook où s’abonner, faits par des habitant-e-s et usagers... Le numéro 2 vient de sortir à la fois sur Internet et en version papier. [suite]
Communes : Bruxelles-Ville (Pentagone) , Thématiques : Comités de quartier -
Marolles, assemblée générale !
Publié le 22 novembre 2017Les habitants se mobilisent autour du Contrat de quartier Marolles. [suite]
Communes : Bruxelles-Ville (Pentagone) , Thématiques : Urbanisme -
Rê(no)ve ton quartier
Publié le 19 novembre 2016Expo, débats, ateliers et échanges. [suite]
Communes : Forest , Thématiques : Environnement -
Précisions : audit citoyen des Contrats de quartier
Publié le 14 septembre 2016Dans le Bruxelles en mouvements n°278 de septembre-octobre 2015, "Votre contrat de quartier", nous invitions les habitants concernés par ce dispositif territorial à nous envoyer leurs témoignages à audit.citoyen.quartier @gmail.com. IEB n’est plus en mesure de superviser cette adresse. [suite]
-
La rénovation urbaine, sans les habitants ?
Publié le 9 mars 2016La Région est en train de revoir en profondeur l’ordonnance sur la revitalisation urbaine qui encadre le dispositif des contrats de quartier. Le projet tel qu’il est mis sur la table pour le moment met à mal le rôle des associations de première ligne, délègue des aspects essentiels du dispositif au gouvernement de façon à échapper à tout contrôle démocratique, renforce le caractère improductif des contrats de quartier au niveau de la création de logements sociaux, mise sur des logiques d’attractivité territoriale au détriment des besoins des habitants en place,... bref, il n’annonce rien de bon ni pour les habitants de ces quartiers ni pour les associations qui travaillent à leurs bénéfices. [suite]
Communes : Région de Bruxelles-Capitale , Thématiques : Urbanisme -
L’action politique exige l’action du public. Essai de décryptage de la notion de participation
Publié le 3 novembre 2015, par ,Partout dans les politiques publiques, on donne une certaine importance à la « participation ». Mais on constate aussi partout les difficultés à l’appliquer. Au mieux, il s’agit de consulter un public pour créer les conditions de l’acceptation d’un projet. Au pire, la participation est l’alibi d’une politique du fait accompli. Essai de mise en perspective de ce constat à la lumière d’une lecture stimulante du philosophe John Dewey. [suite]
-
Droit de regard sur les Contrats de quartier schaerbeekois
Publié le 3 novembre 2015, par ,La commune de Schaerbeek a confié la gestion de ses 10 derniers contrats de quartier à l’asbl RenovaS. Une exclusive contestée par des habitants des quartiers concernés qui, depuis des mois, pointent les dysfonctionnements financiers et le déficit démocratique de cette « revitalisation urbaine ». Exposé d’enquête. [suite]
-
Les dispositifs de rénovation urbaine, histoire d’une illusion
Publié le 3 novembre 2015, par ,Le dispositif des contrats de quartier a aujourd’hui plus de 20 ans. À en croire les autorités régionales, ces deux décennies auraient été celles de la sortie progressive des affres du « déclin urbain » et du triomphe de la participation en matière de rénovation urbaine. [suite]
-
L’action politique exige l’action du public. Essai de décryptage de la notion de participation
Publié le 3 novembre 2015, parPartout dans les politiques publiques l’on donne une certaine importance à la « participation ». Mais on constate aussi partout les difficultés à l’appliquer. Au mieux, il s’agit de consulter un public pour créer les conditions de l’acceptation d’un projet. Au pire, la participation est l’alibi d’une politique du fait accompli. Essai de mise en perspective de ce constat à la lumière d’une lecture stimulante du philosophe John Dewey. [suite]