Le discours politique du jour est de promouvoir la mixité sociale des quartiers. C’est une des justifications des « contrats de quartier » qui visent, en réhabilitant des quartiers laissés à l’abandon et de ce fait « appauvris », à y faire (re)venir des habitants plus aisés (et ainsi rendre ces quartiers plus « profitables » en termes de taxes ?). Examinons les évolutions et les résultats pour deux quartiers qui ont été la cible de plusieurs contrats de quartier.
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